La comtesse d'Andigné — Notre-Dame de Charité du Bon Pasteur

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La comtesse d'Andigné

La très proche bienfaitrice de Marie Euphrasie

Geneviève du Pays Du Vau comtesse d’Andigné   
(1761-1846)

Madame d’Andigné dont le père issu d’une famille d’origine portugaise, « Seigneur du Vau » vint s’installer à Angers, il en devient maire de 1747 à 1750. C’est là que Geneviève nait le 1er septembre 1761. La famille est respectée et bien intégrée à Angers. Puis Geneviève du Vau épouse le chevalier d’Andigné. Elle a une vie heureuse et brillante dans les premières années du mariage. Pendant la révolution le couple est obligé de fuir, d’abord en Angleterre puis en Martinique où le mari meurt. Restée veuve, à son retour à Angers elle compte de nombreuses relations parmi les prêtres et la haute société. Elle connaissait Madame de Botmilliau, son amie d’enfance devenue Marie de Sainte Hippolyte à Paris dans la Congrégation de Notre Dame de Charité, puis supérieure à Tours. Elle misa sur la jeune professe Marie de Sainte Euphrasie, qu’elle rencontrait lorsqu’elle venait voir son amie. Elle conseilla la communauté de Tours dans le choix de Marie de Sainte Euphrasie comme supérieure de la communauté, puis pour la fondation d’Angers.

Elle devient partenaire, assure des démarches auprès des jésuites à Paris et demande conseil au Père Vaurès à Rome dans les pourparlers qui précèdent le généralat.

Très proche de Marie Euphrasie, elle s’installa dans la maison d’Angers en novembre 1833. Amie sincère, elle allégea ses croix. En voyant la confiance de Marie Euphrasie en la divine Providence, elle aimait l’appeler « Madame de l’Espérance ».

Madame d’Andigné finira ses jours le 8 juillet 1846 dans cette maison d’Angers où elle a vécu 13 ans.